À Pô, dans la région du Centre-Sud au Burkina Faso, la Coopérative « Wessonou » transforme le manioc en attiéké pour lutter contre la faim. Adana ZOURÉ, la Présidente, partage son parcours et les succès de la coopérative. Grâce à l’union de 15 membres, elles surmontent les défis, nourrissent des fa

Florence BASSONO est la promotrice de « Faso Attiéké ». Consciente de la demande croissante pour l’attiéké au Burkina Faso, Florence s’est engagée à améliorer la qualité de ce mets populaire. Partageant sa vision de permettre aux gens de manger sainement, elle a créé Faso Attiéké pour élever

Florence BASSONO est secrétaire de direction de formation. Elle a créé FASO ATTIEKE, une entreprise qui transforme et commercialise le manioc local. Alors qu’elle sous la menace de licenciement par son employeur, Florence se met à chercher des idées d’entreprise. Elle s’essaye dans un premier temps au commer

En 2002, Sabine NANA et ses camarades ont quitté la Côte d’Ivoire en guerre pour s’installer au Burkina Faso. Depuis, elles ont reconstruit leurs vies grâce à la transformation du manioc en attiéké frais et séché. Sabine et ses amies ont démarré leur activité dans le beurre de karité et le mil germé. M

Marie-Thérèse TANOH, étudiante en master 2 en économie générale, se lance parallèlement dans la culture du manioc et de légumes. Marie-Thérèse a commencé à s’intéresser à l’agriculture à la suite d’un cours qu’elle a suivi en économie agricole à l’université. Elle découv

Justine YAO n’a pas eu la chance d’aller à l’école. Après plusieurs années dans la couture qui lui rapportait peu, elle transforme son atelier en un site de production de semoule de manioc appelée « attieké ». Avec son atelier de couture, Justine n’arrivait pas à subvenir aux besoins de sa famille et

Elizabeth GIKEBE est développeur de logiciels. Elle produit la farine de manioc sans gluten et de l’amidon de manioc, destinés aux consommateurs allergiques au gluten. Quand on transforme le manioc, le produit principal est la farine de manioc, mais Elizabeth utilise également les sous-produits. Les déchets s

En Afrique centrale, le manioc est considéré comme l’une des cultures stratégiques en raison de sa contribution à la sécurité alimentaire et nutritionnelle, ainsi qu’à la création d’emplois, en particulier pour les femmes et les jeunes. Mais en même temps, la chaîne de valeur du manioc prés

Alain AYENA, 38 ans, comptable depuis 2001 dans une grande société au Bénin, décide de tout quitter en 2014 pour se lancer dans l’agriculture et l’élevage. « Il y a une dizaine d’année déjà, j’ai constaté que des camions quittaient le Nord avec des cargaisons de tomates, de piments et d’autres prod