Au Burkina Faso, la longue saison sèche rime de moins en moins avec l’oisiveté chez les agriculteurs et agricultrices. Beaucoup s’adonnent au maraichage qui devient aujourd’hui l’une des principales activités génératrices de revenus pendant cette période. Mais sans formation, manquant de moyens, nombre dâ

A Dédougou, au Burkina Faso, une laiterie fait le bonheur des femmes rurales depuis février 2012. Soutenu par le Conseil régional et entretenu par l’union des éleveurs et producteurs de la région, la mini laiterie Soudou Kossam est une réponse à l’autonomisation des femmes.

A Kovié, au sud du Togo, l’introduction d’un système d’irrigation goutte-à-goutte change la vie des maraichères. L’accès à l’eau était un grand défi pour les femmes. Elles marchaient plusieurs kilomètres pour aller chercher de l’eau et portaient le seau d’eau sur leur tête. Et comme

Des femmes de la coopérative « Egbèlayo Â» de transformatrices d’acajou formées à l’installation système solaire photovoltaïque. En raison du manque d’électricité, les femmes rencontraient beaucoup de difficultés et ne pouvaient pas travailler la nuit. Dans l’obscurité, elles étaie

En 2002, Sabine NANA et ses camarades ont quitté la Côte d’Ivoire en guerre pour s’installer au Burkina Faso. Depuis, elles ont reconstruit leurs vies grâce à la transformation du manioc en attiéké frais et séché. Sabine et ses amies ont démarré leur activité dans le beurre de karité et le mil germé. M

Seynabou DIENG TRAORE est diplômée en communication. A travers son entreprise Maya Agroalimentaire, elle propose diverses marinades et épices organiques prêtes à servir. Rentrée au Mali en 2015, Seynabou constate que bon nombre de femmes qui travaillaient comme elle consommaient beaucoup de produits importés fau

Mabel ADEKAMBI est diplômée en tourisme. En 2015, elle a lancé « King of Soto », une marque de liqueur à base de vin de palme assaisonné par des fruits et des épices. Le parcours entrepreneurial de Mabel commença en 2012 quand elle décida de préparer ses propres boissons pour le réveillon de Noël, parce

Natalie KPANTE est diplômée en sociologie. En 2013, elle crée avec cinq autres jeunes, CHOCO TOGO, une coopérative de production et de commercialisation de chocolat bio. L’histoire a commencé quand Natalie et ses collègues ont participé à une formation sur l’entrepreneuriat agricole dans le cadre d&