Dans presque tous les quartiers de Ouagadougou, l’odeur du maïs grillé flotte dans l’air et fait saliver les consommateur de cette denrée simple, mais présente dans le quotidien des Burkinabè.
Derrière chaque épi, il y a des femmes comme Juliette et Honorine, qui vivent de cette activité depuis plusieurs années et ce, malgré les difficultés d’approvisionnement à certaines périodes de l’année.
Le maïs grillé, c’est plus qu’un goût : c’est une culture et une identité qui invitent à consommer local.