A Gaoua, dans le Sud-Ouest du Burkina Faso, Nahondomo PALENFO exploite plusieurs dizaines d’hectares de cultures diverses. Cette année, il s’est aussi lancé dans la transformation du riz et a installé la toute première mini rizerie de la région. Cette unité industrielle redonne l’espoir aux producteurs qui

Yombi OUÉDRAOGO est juriste. Il s’est lancé dans l’aviculture en 2011 avec 10 poussins. Aujourd’hui, sa ferme compte 3000 têtes. L’élevage est une passion pour Yombi. Quand il était petit, il avait toujours des poulets chez lui et il aimait les animaux. C’est cette passion qui l’a encouragÃ

Siriki OUATTARA a quitté l’école en classe de 3e pour se lancer dans l’agriculture avec 2 ha. Aujourd’hui, il exploite plus de 100 ha. Alors que la plupart de jeunes quittent le village pour aller en ville, Siriki a fait le contraire. Il a quitté la ville de Bobo-Dioulasso pour rejoindre Boborolla 2, un petit

Soumaïla KANLA est un ébéniste designer. Il transforme le bois mort en bois d’œuvre et objets utilitaires comme des assiettes, des cuillères, des fourchettes, etc. Soumaïla a vécu en France pendent sept ans. C’est là qu’il a développé sa passion pour transformer le bois en différents objets. So

Le Burkina Faso produit +34 millions volailles chaque année. Dans les villages, presque toutes les familles pratiquent l’élevage traditionnel de volaille. « C’est une activité qui peut vraiment aider les femmes à sortir de la misère. L’élevage traditionnelle de la volaille n’est pas une activité trop pr

Ousmane BÉRÉ a quitté l’école en classe de 3e. Il rejoint l’atelier de soudure de son père et met au point une charrue motorisée. Dans son atelier, il fabrique des charrettes, des charrues à traction bovine et asine, des brouettes, des portes, des fenêtres, et bien d’autres outils. Mais son innovation, câ

Yorossi KOUHOUN gère une exploitation familiale de 30 ha. Il associe à la culture de coton, le sorgho, le mil, le maïs et l’arachide. « C’est sur l’agriculture que je me base pour rêver gros et grand. Et pour cela je travaille, en travaillant on est sûr d’avoir de l’argent et pouvoir subvenir à ses bes

Francis Wendpanga IMA est le directeur du collège de Bagré (Centre-Est du Burkina). Il s’est aussi lancé dans l’agriculture, l’élevage et la transformation du riz. Le fait d’être employé de l’Etat n’a pas empêché Francis de s’investir dans l’agriculture. Ses collègues enseignants voient en lui

Hamado Bonkoungou est agent d’une compagnie arienne. En parallèle, il mène une activité d’embouche bovine et ovine dans la périphérie de Ouagadougou, au Burkina Faso. En 2011, Hamado a été forcé de prendre 110 jours de congé. Il trouvait que c’était long et cherchait quelque chose à faire pendant cette

« L’agriculture pour nos parents, c’était de la subsistance. Alors qu’il faut dépasser cela. Il faut se nourrir et nourrir les autres. Ce n’est pas tout le monde qui est appelé à être agriculteur », dit Marcel. A Makognadougou, 300 km de Ouagadougou, Marcel Ouédraogo, agriculteur, met ses compétences